GREVE GENERAL !
Il faut vraiment être un type de Droite obtu pour ne pas entendre le Message de la rue ("Casse-toi !").
Ainsi, Galouzeau de Villepin à perdu ses derniéres gouttes de légitimité en tant que premier ministre. Certes, on me dira que les électeurs de Droite ont voté pour ce gouvernement Réactionnaire libéral, en 2002. Mais tous les experts sont d'accord pour dire que l'épreuve du 3éme tour Sociale, dans la rue, est la vrai élection. D'ailleur est-ce que les électeurs de Droite comptes tant que ca dans ce pays ? Heureusement que non, car sinon, la France subbirait comme le reste du monde le Totalitarisme Libérale et la pauvreté qui l'accompagne toujours.
Car quand la Droite gagne, c'est grâce à l'Argent des Patrons, des Actionnaires, des Riches, et en créant des peurs Sécuritaire contre les Immigrés, tandis que la Gauche, elle, sans argent, sans haine, indépendante, elle ne fait que défendre le Bon Peuple face au MEDEF et aux Chinois (dans un esprit d'Ouverture à l'Autre). Ce n'est pas un hasard si les grands Patrons Allemands ont toujours soutenue Hitler. La Droite ne gagne que grâce à son pognon, et en en promettant encore plus à ceux qui en ont déja. Belle Démocratie que nous avons là ! Finalement, un électeurs de Droite, puisqu'il s'est fait acheté, c'est illégitime, et ca compte donc moins qu'un électeur de Gauche, qui lui est désintéressé et combat pour le Bien. Heureusement que le Pouvoir de la Rue est là pour rétablir la Vraie Démocratie dans ce pays !
Aussi, malgrés les risques, il est important que la Vérité eclate enfin : Galouzeau de Villepin est un aristocrate, un noble !
Jamais la République n'aurait dû autoriser les ci-devants nobles à avoir des droits Politique, car on voit bien que c'est la porte ouverte à la Dictature. C'est aussi contre ca que se rebelle notre belle jeunesse ! Car enfin, est-ce qu'on à pris la Bastille et Guillotiné dans la joie Louis 16 pour se retrouver 200 plus tard avec un noble à la tête de ce pays ?! En plus, qui dit noble, dit catholicisme. Ce qui expliquerait, à mon avis, cette obsession du Travail chez les gens de Droite, dont nous, le Peuple de Gauche, sommes si heureusement libre. Car d'aprés mon amis -qui est enseignant d'Histoire- il y aurait dans bible, une histoire d'obligation de travailler pour l'homme (comme punition pour avoir manger une pomme). Bref, ce serait la bible qui serait à l'origine de l'exploitation de l'Homme par l'homme. Je trouve dangereux que les catholiques interprétent littéralement leur texte.
Tous le monde sait que le monde n'a pas était créé en 7 jours. Pourtant les catholiques, comme Bush, le croient, et veulent imposer le créationisme contre le Darwinisme. Tous ca parce qu'aucune version moderne de la bible ne semble être sorti du vatican depuis un bon moment. Enfin bref, le travail serait une opinion religieuse, commune au gens de Droite. Ajouté à la "Main Invisible", autre délire religieux (Comment font-ils pour voir des mains invisibles ? Moi je vais aller faire mes course chez eux avec de l'argent invisible, on verra bien leurs têtes ! Les libéraux sont des fanatiques), on comprend bien que le travail n'est pas une necessité, mais un dogme religieux qu'on cherche à nous imposer. Lutter contre le travail, par les 35 heures par exemple, c'est aussi lutter contre la superstition catholique. Aussi, je me demande si le vatican ne serait pas deriére le CPE. Je n'ai pas de preuve, on va peut être me traiter de paranoïaque, mais enfin noble, catholicisme, main invisible, CPE, tous cela semble trop logique pour être un hasard.
Est-ce que c'est Dieu, qui, comme pour Bush l'Irak, à ordonné à Galouzeau de Villepin la création du CPE ? Ca expliquerait l'entétement des deux à refuser de reconnaitre leurs erreurs et faire repentance, comme l'exige l'Homme de Progré. C'est donc vers la Gréve Générale que nous nous acheminons. La monté en Puissance de la contestation ne peut que stimuler les ardeurs des Etudiants, Lycéens, Collégiens et autre fonctionnaires de l'enseignements dans leur Juste combat. Il ne faut pas que la Gauche abandonne les Jeunes. La Victoire en 2007 passe par eux.
7 Comments:
Au fur et à mesure que le mouvement s'étend, et que les actions directes se font plus présentes, la question de la "violence" refait inévitablement surface. Si certaines interventions, catégoriques & ignorantes ("la violence, c'est mal !") ne valent guère la peine que l'on s'y arrête, nombre d'autres s'interrogent avec honnêteté sur la violence & son utilité. Question pertinente, la violence n'allant pas de soi, et, comme forme d'expression pour le moins dure, devant être pensée. Voici donc quelques pistes pour contribuer à la réflexion & l'action.
Qu'aurait été l'évacuation de la Sorbonne sans la résistance active & spectaculaire d'une partie des occupant·e·s ? Ce n'est pas tous les jours que les flics se prennent des tables sur la tronche, et ce moment est vite devenu un mythe, qui anime les solidarités en France comme à l'étranger, profitant directement à ceux qui sont pourtant les plus prompts à critiquer ces actions, les "pacifistes". D'une manière générale, les actions "dures", quand elles accompagnent un large mouvement de contestation, sont autant d'outils permettant à celui-ci de s'imposer, d'empêcher les tentatives d'étouffement d'un gouvernement, de se faire entendre ! L'État ne craint pas les marches pantouflardes qui jalonnent les mouvements sociaux depuis des années pour demander une petite part de gateau. Elles constituent la routine du théâtre démocratique, et n'obtiennent jamais rien de *significatif* (l'histoire des mouvements ouvriers montre beaucoup moins de frilosité de leur côté). L'État craint, au contraire, le dérapage, la perte de contrôle, le potentiel de colère d'un mouvement inflexible, à plus forte raison s'il est capable d'agréger d'autres révolté·e·s (ce que Sarkozy semble, à raison, particulièrement redouter !).
Demandons-nous ce qui fonde notre appréciation d'une action. Le seul regard filtré des caméras, aux ordres du gouvernement, comme l'ont montré les expériences pratiques de luttes depuis des années, comme la sociologie critique ? S'il est important de penser à l'intelligibilité des actions, en donnant de la visibilité à des idées, à des revendications, via banderoles, slogans, graffitis ("cassons le CPE !") & choix de cibles claires, il serait bon de ne pas oublier la dimension libératrice & révolutionnaire, à une échelle personnelle & collective, de ces moments. L'expérience pratique de la résistance permet non seulement de sortir les violences quotidiennes accumulées face à la l'autorité, mais aussi et surtout de vivre un moment d'intensité _ensemble_, lors duquel le temps est suspendu, lors duquel le jeu change de règles. C'est assurémment un moment galvanisant que de briser l'isolement habituel, pour se sentir fort·e·s ensemble, légitimes dans la colère, et refuser le confinement imposé par la flicaille, bras armé de l'État, qui, on le sait, n'est là que pour décourager, démobiliser, semer la terreur, fracasser des gueules, bref, casser (les gens, le mouvement) ; et non pour nous protéger ( ! ! !), comme certain·e·s osent encore le bêler !
On dit souvent que la violence, si elle est légitime, est difficilement compréhensible, audible pour le citoyen. À vrai dire, c'est évident. Quoique. Comme modes d'action, l'insoumission (refuser le confinement policier et l'enfoncer), la résistance active (caillaisser, entre autres choses) & le sabotage (briser des vitres pénibles à regarder) sont aussi des expressions qui parlent à des catégories de la population, "qui ont délaissé la politique, parce que la politique les a délaissés". Quoi qu'il en soit, si bien des gens refusent la "violence" (bien que celle des manifestant·e·s demeure en tout point inférieure à celle du gouvernement), ne peuvent s'y identifier ; si bien des gens s'en vont la rejetter en bloc, fustigeant les casseurs (pure invention policière & médiatique, visant à décrédibiliser ceux & celles qui expriment de manière radicale & déterminée leur opposition, en les faisant passer pour des opportunistes sans rapport avec les manifestations, ce qui est mensonge éhonté), faut-il se demander pourquoi, ou, plutôt, comment remédier à cela ?
Et si tou·te·s les manifestant·e·s occupé·e·s à dénoncer leurs voisin·e·s lanceurs & lanceuses de pavés, sous prétexte que "personne ne va comprendre", consacraient un dixième de ce temps là à _expliquer_, à faire en sorte que les personnes en question puissent comprendre ; à se montrer en solidarité, à assumer ces actions comme composante du mouvement ? Que l'on soit clair : il ne s'agit pas nécessairement que tout le monde se transforme en émeutier·e ; à chacun sa manière d'agir, selon son confort personnel & ses envies, dans le respect des autres tactiques ; mais ce dont il s'agit, à l'évidence, c'est de refuser la stratégie de division du gouvernement, qui va sans hésiter distribuer des bons points aux gentil·le·s manifestant·e·s, inoffensifs, pour durcir la matraque contre les autres. Le fait même qu'un gouvernement hostile flatte les étudiant·e·s les plus dociles, opposés à sa politique, devrait mettre la puce à l'oreille à quiconque se méfie. Cessons donc de jouer le jeu de Sarkozy, et de vouloir être premiers de la classe ! Désertons son monde & ses logiques autoritaires, et nourrissons une opposition plurielle, insolente, qu'elle soit ou non violente ! Nous avons tou·te·s à y gagner, sauf le gouvernement.
Reste à savoir si le mouvement anti-CPE veut avoir l'intelligence de s'ouvrir à d'autres mécontentements, pour dépasser la revendication limitée du CPE, qui, il est vrai, ne fait que compléter un dispositif d'exploitation déjà largement rodé. S'opposer radicalement au CPE et faire en sorte qu'il ne ressurgisse pas sous un autre nom, c'est forcément poser la question du monde qui l'a généré, et lutter pour en construire un autre, fruit de nos envies, des pratiques collectives que l'occupation des FAC permet d'ores & déjà d'explorer, sans oublier l'inspiration que peuvent nous procurer les expériences & projets autogestionnaires qui existent depuis des années, mettant en relation recherche d'égalité dans le vivre-ensemble & pratiques d'autonomie vis à vis des systèmes étatique & marchand.
Alors, qu'est-ce qu'on attend ?
un étudiant ("casseur" à ses heures)
By Anonyme, at mardi, 21 mars, 2006
La parole pleine de sagesse du Maître du Monde du 22 juillet 2005 : "... Et ma main invisible, tu la veux dans ta gueule ?"
http://users.skynet.be/maitredumonde/2005-07-22.htm
By Anonyme, at mardi, 21 mars, 2006
Votre raisonnement est absolument limpide, Charles.
Je crois que vous êtes le lien entre les deux hémisphères de notre cerveau (Celui de Platon, celui d'Aristote).
Un grand merci pour votre combat.
Qu'il est bien cet homme-là, tout de même.
Jean François Minaudant
http://minaudantconseil.blogspot.com/
By Jean François Minaudant, at mercredi, 22 mars, 2006
Pas de problème Robert, j'aime le miel, j'aime le blog de Charles-le-Génie.
By Anonyme, at mercredi, 22 mars, 2006
Bien que contre le CPE pour diverses raisons, je ne peux laisser dire de tel bêtise.
Un ami m a envoyé par mail votre prose et au début j ai cru a un canular tellement les arguments sont mensongers et grossiers.
Bon alors, est ce qu'un électeur de gauche vaut plus qu'un électeur de droite, en Démocratie, a priori non.
Par contre, si vous sous-entendez que certaines idées/opinions sont mauvaises (pensée unique?), si vous sous-entendez que certaines personnes sont trop bête pour voter , si vous sous-entendez finalement qu'il y a des gens intelligents et des idiots (sous-hommes?), et si carrément vous êtes contre la Démocratie, ou pour une Démocratie ou tout le monde pense pareil, alors oui clairement, les électeurs de gauche valent plus que ceux de droite.(D'ailleurs, cela servirait-il encore de voter?)
"Gauche, elle, sans argent, sans haine, indépendante..."
Bon, j'imagine que vous parlez de la VRAI gauche celle qui commence a la LCR et fini vers les groupes anarchistes.
(Si, vous parlez du PS, je peu faire un deuxième post, mais je pense qu'on est deja d'accord, non?)
Pour les Grands Patrons Allemands et Hitler, j'espére que c'est un raccourci, nombre de Patrons (Shindler?) n'ont pas soutenus Hitler et surtout un grand nombre s'en sont rapidement éloigné.
Hitler, de plus pratiquait une politique de redistribution des richesses juives vers le peuple.
(impôt révolutionnaire?)
Les électeurs de Droite se font achetés? 50%(en gros) de la population française s est fait acheté?
Euh, c est pas un peu forcé?
"le Pouvoir de la Rue est là pour rétablir la Vraie Démocratie dans ce pays !"
La Vraie Démocratie, c'est le pouvoir de tout le peuple, pas seulement 3.3% de la population (en prenant en compte 2 millions de manifestants, estimation haute)
Car dans ce cas le FN avec 18%, c'est la Vraie Vraie Vraie Vraie Vraie (5 fois le compte est bon) Démocratie.
Bon alors après dans les plus grandes fumisteries:
de Villepin n'est pas noble, même pas noblesse d'Empire. C'est dommage mais c'est comme ça, par contre il est catholique, tendance light, il est pour le clonage thérapeutique, l'avortement, les droits des homosexuels...
La Bible a l'origine de l'exploitation de l'homme par l'homme, et les pyramides?
Bush est protestant pas catholique (Le Catholique, c'est Kerry comme JFK d'ailleurs (seul president catholique des USA))
Bush ne veut pas imposer le créationnisme mais ce que l'on appelle l'Intelligent Design.
(Encore une histoire de main invisible...)
Le Vatican a d'ailleurs pris position pour Darwin et contre l'I.D.
En espérant etre tombe dans un canular, je vous salue.
By Anonyme, at jeudi, 23 mars, 2006
Ma chère Agathe, je crois que Robert ne pensait pas à vous. Pour l'avoir cotoyé sur mon blog, je ne doute pas qu'il est de du camp du Progrès, comme vous et moi.
Robert, excusez-moi de parler en votre nom.
Jean François Minaudant
http://minaudantconseil.blogspot.com/
By Jean François Minaudant, at jeudi, 23 mars, 2006
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By Anonyme, at mercredi, 05 avril, 2006
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