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Par qui ? Qui à fait cela ? Qui veux, voudrait ou voulait faire terre la Parole de l'Intelligence Métisse et de l'Esprit Critique Citoyen ?
Certainement un ennemi du Multi-Culturalisme, cette exigeance Démocratique, ou du Progrés Anti-Mondialiste, cette exigeance Sociale. Un ennemi de la Gauche..
La Penseé Unique est prete à tout pour maintenir sa domination dans les esprits de nos Concitoyens, elle ne recule devant aucun procédé, jouant sur les fantasme et les peurs, pour intimider, stigmatiser, ridiculiser ceux qui, sinon, seraient pour une Immigration Joyeuse et Moderne.
Oui, Sarkozy, c'est de toi que l'on parle !
Honte à la Droite qui t'a vu naitre !
10 Comments:
Ah, vous voilà !
Mais Borloo aussi est dangereux. Il prétend sympatiser avec les deshériés mais il ne leur offre toujours pas notre héritage. Blum pour tous ! Les déshérités ne pourront pas se contenter d'une maison Borloo taillée petitement pour cinq personnes. Exigeons des maisons à la taille de nos idéaux !
1936, tolérance, abondance... Les bourgeois le méritent-ils, cet héritage ?
Faut-il interdire l'UMP ?
By Anonyme, at mercredi, 31 mai, 2006
"Mais Borloo aussi est dangereux. Il prétend sympatiser avec les deshériés "
Ah oui, c'est répugnant d'instrumentaliser ainsi la misére des gens pour gagner des élections. J'espére qu'ils ne seront pas dupe, et continuront à voter pour ceux qui les aiment vraiment, les défendent vraiment, sont leur seule espoir contre les Riches, pour la Gauche.
"Exigeons des maisons à la taille de nos idéaux !"
Ne risque-t-on pas de détruire la riche culture d'entraide de ces gens en les isolant ainsi dans l'individualisme bourgeois ? Je trouve que cette idée de maison individuelle n'est pas forcément une bonne idée, ou alors il faut prévoir un espace devant leur facades où le Lien Social des Jeunes pourra s'épanouir dans le Vivre-Ensemble Citoyen.
By Charles Legrand, at mercredi, 31 mai, 2006
Je dois dire que j'ai craint que vous n'ayez subi les foudres de la censure fascisante de Jean Marie Sarkonazi.
Me voilà rassuré, la PIM et l'ECC pourront continuer à vivre.
Ouf
Jean François Minaudant
By Jean François Minaudant, at mercredi, 31 mai, 2006
Une page blanche et pourquoi pas une page noire??????
By Anonyme, at mercredi, 31 mai, 2006
Ecoutez franchement, si dans cet "autre monde" que vous appelez de vos voeux, on est incapable d'écrire trois mots sans fautes d'orthographe, je préfère garder celui-là, même si la langue en est déjà considérablement dégradée. Personne n'essaie de vous faire TERRE Monsieur. Ni de vous faire taire. Surtout pas M. Sarkozy (les imbéciles qui l'appellent "Sarkonazi" insultent la mémoire des six millions de juifs morts dans les camps hitlériens) qui a d'autres chats à fouetter que de s'occuper des délires d'un illettré. Vous n'avez pas d'exigeance sociale, mais une EXIGENCE sociale. Rassurez-vous : personne n'essaie de vous stigmatiser ni de vous ridiculiser. Vous y arrivez très bien tout seul.
By Anonyme, at jeudi, 01 juin, 2006
"Ecoutez franchement, si dans cet "autre monde" que vous appelez de vos voeux, on est incapable d'écrire trois mots sans fautes d'orthographe,"
Pfff, espéce d'inculte de Droite.
On voit bien toute la bêtise et la haine du Progrés caractéristique du petit bourgeois blanc coincé. Franchement, resterez vous toujours ignorant des découverte intellectuel et sociale majeur du XXéme siécle ? Cette rage d'homme de néandertal face à la Science, -face au Valeurs de Mai 68-, ridicule. En plus, venir évoquer comme pseudo argument le sort des Juifs pendant la seconde guerre mondiale, alors que la complicité de la Droite dans ce crime est connu de tous, il faut osez !
Il est plus que temps que Ségoléne donne une bonne fessée aux ringards dans votre genre.
Le Socialisme, Vite !
By Charles Legrand, at vendredi, 02 juin, 2006
Le vrai militant socialiste est terriblement blessé par les propos honteux qu'a tenu ségolhaine l'autre jour. Pas vous Charles ?
By Anonyme, at samedi, 03 juin, 2006
La tournante raciste des Requins Vicieux
Au début des années 2000, la société française a découvert avec consternation que la montée constante de la délinquance ne se limitait pas aux seuls feux de voitures, mais qu'elle s'accompagnait de la banalisation de crimes particulièrement abjects que les médias allaient baptiser des "tournantes", reprenant le terme d'argot utilisés par les jeunes des cités.
Le viol collectif, certes, n'est pas en soi une nouveauté et aucun peuple n'en a le monopole, mais ce qui allait particulièrement choquer les Français, c'est à la fois sa banalisation, la jeunesse des criminels mais aussi leur parfaite indifférence et leur absence de remord vis-à-vis de leurs victimes, souvent des adolescentes ou des préadolescentes. Si dans un premier temps, il a pu sembler que la plupart des victimes étaient en majorité de jeunes françaises de souche - et ce site s'était fait l'écho de cette perception - la réalité a largement relativisé cette idée: les victimes des tournantes se recrutent dans tous les groupes ethniques et sont de toutes les couleurs de peau.
Néanmoins, les liens entre l'immigration afro-maghrébine, la haine envers les Blancs - ou l'occident - et la recrudescence de ce type d'agressions est indégnable: des chiffres, des faits et des témoignages le confirme . De plus, le phénomène des tournantes se reproduit à l'identique dans d'autres pays occidentaux, commis par des délinquants partageant les mêmes origines ethniques ou la même culture que leurs homologues en France. Les personnes désireuses d'en savoir plus dans ce domaine pourront cliquer sur les liens du sous menu "viols en réunion" qui se trouve à droite de cette page.
Pendant plusieurs mois, entre 2001 et 2002, tandis que des crimes commis plusieurs années auparavant allaient passer devant les tribunaux, le compte rendu de ces agressions sexuelles allaient se faire en un crescendo croissant de violence et de barbarie.
Viol de la cité des Eiders
La première affaire de tournante à faire son apparition dans les médias, au printemps 2001, est celle de la jeune Sabrina, une adolescente violée à deux reprises dans la cité des Eiders, dans le XIXème arrondissement de Paris. En 1993, la jeune fille est entrainée dans une cave de la cité par son petit ami Osmane, 19 ans, où elle a des rapports consentants avec lui. Le calvaire de Sabrina va commencer lorsque les copains du jeune homme vont se présenter à la porte du local et demander de pouvoir disposer d'elle. le jeune maghrébin la laisse à la disposition de 14 jeunes de la cité. On retrouvera quinze préservatifs dans la cave.
Ce qui se produit ce soir là est le scénario type de la tournante, selon M. Bourles "la fille sort avec un garçon qui décide d'en faire profiter les copains. Les garçons peuvent avoir quatorze - quinze ans. Parfois la fille est encore plus jeune. Après coup, ils disent qu'elle était d'accord et que, de toute façon, elle couchait avec tout le monde."
C'est ce discours qui definie la victime comme une "lopsa" qu'on retrouve dans une des chansons du rappeur Pit Bacardi:
" Si j'étais femme... Est ce que j'accepterais de ken avec jacky / Pit le pote à Jacky / Ben-J le pote à Pit donc le pote à Jacky / avoir une bite comme logo ou être la go [salope] la plus Ken du coin / c'est sale comme un mec qui baise sa soeur / heureusement que je suis pas comme cette chienne qui aime se faire Ken / Qui pleure et s'plaind quand j'lui dit qui elle est..."
Un viol peut être commis sans violence. La pression psychologique exercée par un groupe, la peur de la violence agissant comme un mode de coercition peut amener une victime à ne pas résister aux exigences de ses agresseurs et à se soumettre à leurs ordres. Le comportement soumis dicté par la peur de la victime renforce alors les violeurs dans leur conviction que la victime est en réalité complice et, pour la victime, l'absence de résistance peut générer, par la suite, un intense sentiment de culpabilité qui peut s'avérer, à long terme, plus dommageable que le viol lui même, entrainant de graves séquelles psychologiques et affectives. Cette perception de la complicité de la victime est érronée: un viol, même si les actes sexuels ont été obtenus sans violence mais par la contrainte, est un viol.
Lorsqu'une jeune femme a été victime une première fois d'un viol collectif, elle a désormais une "réputation" qui la marque comme une cible aux yeux des jeunes de son quartier ou de sa cité et qui en font la cible d'agressions ultérieures. Elle est une "Go", une "taspé" une "lopsa" qui se fait "Ken" et si elle parle, elle devient une "lanceba". Pourtant, la jeune Sabrina va surmonter sa honte et , brisant la loi du silence, elle va porter plainte. Cet acte courageux va s'avérer sans résultat car plusieurs violeurs vont être remis en liberté, ce qui va augmenter leur sentiment de pouvoir agir en toute impunité.
Le 3 septembre 1994, alors qu'elle vit sous la surveillance constante de ses proches, trois jeunes repèrent Sabrina dans un bus alors qu'elle se rend Porte de la Villette pour faire des courses. Ils battent rapidement le rappel de leurs amis puis abordent l'adolescente. Un des violeurs lui annonce qu'elle va "regretter d'avoir porté plainte" puis ils l'entraînent à nouveau dans une cave d'immeuble. Deux garçon la déshabille puis pendant plusieurs heures, elle sera victime de sévices sexuels infligés par, entre autres, Djokre, Sekou, Bouzid, Bakari, Djamel, Boubou, Aziz, Ladji, Vergolino, Mostépha et Hacène.
Il faudra attendre sept ans pour que les violeurs, dénoncés et identifiés par la victime, comparaissent devant la justice. Le jour du procès, Ils arrivent décontractés au tribunal et se serrent la main. L'affaire est présentée dans la presse comme un modèle du genre. La jeune femme est secondée par Me Cathrine Perelmutter et l'association "Enfance et partage" qui a décidé le jour précédent de s'associer à sa plainte. Sophie Decis, une juriste, explique qu' "il faut marquer le coup, montrer que les associations, elles aussi, sont présentes. Dans les cités, il existe des codes qu'on ne connait pas, des rituels qui nous echappent."
Question: faut-il vraiment se soucier des codes et des rituels des cités pour savoir que le viol est condamnable?
Pourtant, en dépit de cette mobilisation et d'une certaine effervescence médiatique autour du cas de Sabrina, l'intérêt pour le procés tombe brusquement. Le lendemain du procès, seuls deux petits entrefilets, l'un dans le Figaro et l'autre dans le Parisien du 28 avril 2001, signalent le verdict; Ainsi, Le figaro se borne t'il à signaler: "indulgence pour les violeurs - les onzes voyous accusés de deux viols collectifs, dont avait été victime une jeune fille de 14 ans, ont été condamnés hier, par la cour des mineurs de Paris, à des peinesde prison modérées de quatre à cinq ans, en grande partie assorties de sursis. La cour a suivi l'avocat général qui avait requis des peines de prisons n'obligeant pas les jeunes violeurs à retourner en prison. Les faits remontent à 1993 et s'étaient déroulés dans les caves d'une cité du XIXème."
En d'autres termes, le procés où il fallait "marquer le coup" a fait long feu.
Les violeurs de la jeune Sabrina sont entrés libres au tribunal et en ressortent libres.
Viol collectif de Grigny
Un des rares cas de tournantes racistes qui soit désormais connu est celle qui s’est déroulée à la Grande Borne, à Grigny, dans l’Essonne, où une autre gamine de 15 ans - blanche - a été violée par dix jeunes. Ceux ci ont déclaré qu’ils s’en étaient pris à elle parce que " c’était la seule babtou [blanche] du groupe ". Il s’agit de Camille, une petite blonde sur laquelle Kader, un jeune de la cité jette son dévolu. La gamine repousse les avances de cet individu, qui se venge aussitôt en cambriolant la cave et fracasse la boite aux lettres de sa famille. Enfin, un soir de Janvier 1999, La jeune Camille se promène avec deux amies d’origine africaine lorsqu’elles croisent une bande de garçons, dont le jeune maghrébin. Un des types lancent aux blacks : "Foutez le Camps ! C’est la Blanche qu’on veut". La gamine demande a ses amies de prévenir ses parents ; elles n’en feront rien.
Dès ce moment, elle est traînée dans un local à poubelle. On lui arrache ses vêtements. Kader l’oblige à lui faire une fellation, puis un copain de Kader, Lamine, rejoint le groupe. Le viol collectif commence et les sévices sexuels vont s'enchaîner jusqu’à trois heures du matin, sous les applaudissements des jeunes de la cité, un comportement collectif qui n'est pas sans rappeler celui de la goutte d'Or, à Paris, dans le XIXéme arrondissement.
La famille portera plainte… et ce sera elle, bien sur, qui devra quitter le quartier…
Viol collectif d'Aix en provence - 27 mai 2001
Le 27 mai 2001, le quotidien le Figaro signale qu'un nouveau viol collectif a eu lieu le 12 mai 2001 à Aix en Provence. Ce cas marque un nouveau palier dans la brutalité utilisée pendant les tournantes. Le journal rapporte que 15 Maghrébins agés de 13 à 19 ans, originaires de la cité HLM de Jas de Bouffan, ont violé une handicappée mentale de 36 ans.
Repérée dans un centre commercial alors qu'elle revenait d'une visite de suivi médical, la jeune femme a été entrainée dans un local à poubelle. Là, ses agresseurs l’ont forcée à fumer de l’herbe, l’ont déshabillée et l’ont violée pendant plusieurs heures. Les viols ne s'arrêteront pas là. Les maghrébins escortent la victime hors du local à poubelle jusqu'à une maison abandonnée. Là, ils vont battre, utilisant leurs portables, ils invitent une autre dizaine de jeunes qui se font à leur tour un devoir de continuer à violer cette femme.
" Ils étaient cinq, puis six, puis dix, puis vingt, je ne sais plus… " confiera la victime
C'est finalement en pleine nuit que la victime sera retrouvée en train d'errer dans les rues de la ville, nue, apeurée, à la recherche d'un peu d'aide. Les personnes qui lui porteront secours découvriront que les jeunes maghrébins ne se sont pas contenté de la violer et de la passer à tabac. Le corps de la femme est constellé de brûlures de cigarettes: ils l'ont torturée. Des éducateurs, se confiant au journal le Figaro, évoqueront "des ratonnades sexuelles destinées à assouvir un racisme latent". Un nouveau seuil a été franchi dans l'abject...
Viol Collectif du Train Dunkerque Lille - 31 mai 2001
Trois jours s'écoulent à peine après que le Figaro ait signalé le Viol collectif d'Aix en Provence que c'est au tour du quotidien la Voix du Nord de signaler qu'un autre viol collectif a eut lieu, cette fois-ci en plein jour et dans un train. Le 24 mai 2001, une bande de sept jeunes montent dans le train Dunkerque-Lille à l'arrêt de la gare de Bailleul. Ces jeunes, selon la Voix du Nord, habitent à Lille sud, un quartier difficile où vivent énormément de maghrébins et où, depuis, a été ouvert le premier lycée musulman de France. Trés vite, ils vont intimider les quelques passagers qui se trouvent dans le wagon, puis les jeunes brutes vont remarquer une étudiante qu'ils vont violer pendant la demie heure de trajet qui mène à Lille. Les médias parleront par la suite de l'indifférence de 200 passagers du Lille Dunkerque. En réalité, il n'y avait dans le Wagon que 5 ou 6 personnes, (moins que d'agresseurs) selon le témoignage de la victime, diffusé par Associated Press sur Yahoo News.
Une fois encore, le viol du Dunkerque-Lille marque une montée dans la violence. 7 ans plus tôt, comme dans le cas du viol de la cité des Eiders, les violeurs entrainaient leurs victime dans une cave. En 1999, comme à Grigny, les viols collectifs étaient devenus une attraction dans la cité. Désormais, on se sert: on se promène dans un centre commercial, on repère une femme vulnérable et on la viole, comme dans le cas d'Aix-en-Provence. Ou bien on prend le train et on viole une passagère entre deux arrêts, histoire de passer le temps...
"agression sexuelle" de Sangatte - 15 septembre 2001
Quelques mois après le viol du Dunkerque-Lille, le Figaro magazine évoque à nouveau la région Nord Pas-de-Calais en consacrant un reportage au centre de la croix rouge de Sangatte, vers lequels affluent, à l'époque, des milliers de réfugiés dont le nombre, 7000 personnes, dépasse bientôt celui de la population locale, 900 habitants. Peu à peu, la violence s'installe: rixtes et traffics en tout genre sont le lot quotidien du centre de Sangatte. Au début du mois de décembre 2001, les Sangattois, exaspérés et de plus en plus inquiets suite à l'entrée par effraction de certains étrangers dans les petites maisons de Blériot-plage et des environs, décident de se rassembler pour une manifestation spontanée. Au détour d'un article qu'il consacre à l'évènement, un journaliste du Figaro évoque en un court paragraphe tout le soutien que reçoivent les victimes d'agressions, lorsque tous les étrangers ne se valent pas:
"Dans la foule" écrit le journaliste, "Il y avait un homme grave, un Anglais installé là avec sa famille depuis 20 ans.
- ma fille mineure a été victime d'agression sexuelle de la part d'un groupe de jeunes réfugiés. J'ai déposé plainte, mais elle n'a jamais eu de suites. Au commissariat, on m'a dit qu'elle avait été égarée. j'ai écris au procureur de Calais en recommandé, mais il ne m' a jamais répondu."
le journaliste évoque dans le même paragraphe la réaction d'un autre habitant de Sangatte:
"Au bar-tabac de Sangatte, le patron est exaspéré et inquiet, confronté à ces clients venus d'ailleurs, de plus en plus nerveux, qui consomment de la bière et lui dérobe des revues pornographiques."
Viol collectif de Roubaix - Violée 86 fois à 13 ans - Janvier 2002
Au printemps 2001, une pré-adolescente alors agée de douze ans devient la cible des agressions sexuelles d’une bande de jeunes. Elle a le profil type de la victime des tournantes: Elle est issue d’un milieu modeste, particulièrement vulnérable et habite dans un quartier immigré de la communauté urbaine de Lille.
Pendant plusieurs mois, la gamine est violée et battue par le groupe d'adolescents qui se la sont appropriée et s’en servent comme d’une esclave sexuelle. La pré-adolescente cache la vérité à ses parents et parvient à les décider à la faire changer de collège. Néanmoins, au collège Albert Samain, elle va continuer, de Septembre 2001 à février 2002, à faire l’objet d’agressions sexuels. En effet plusieurs membres de la bande d’une vingtaine de violeurs habitent dans différents quartiers chauds de la ville et ne tardent pas à retrouver sa trace.
Avec le triste sort de la petite victime, la descente dans l'abjection continue car ces viols à répétition deviennent une véritable industrie. On va chercher la victime chez elle, on la traîne dans les caves d’immeubles. Si elle tente de résister, on la frappe et surtout, on fait payer le viol aux petits camarades des cités, pour des sommes allant de deux à dix Euros. Violer une pré-adolescente de 12/13 ans n’est plus "récréatif"; à Roubaix, les jeunes violeurs en font un commerce…
Mais l'affaire ne s'arrètera pas pas là. Après leur arrestation, les camarades des violeurs vont organiser un véritable harcèlement de la famille qui finira par déménager. une première fois. Car en Janvier 2003, l'affaire de la petite victime de Roubaix revient dans l'actualité du Nord Pas-de-Calais lorsque Me Blandine Lejeune, son avocate, signale que la famille pourrait avoir à déménager une nouvelle fois et a quitter définitivement la région. Une fois encore, des complices de ses violeurs ont retrouvé sa trace et le harcèlement a repris. "ce qui est inadmissible", déclare Me Blancine Lejeune, " ce sont les pressions, les menaces éxercées sur la victime, sur ses petits frères et soeurs, sur ses parents. La justice, la police doivent prendre toutes les mesures pour assurer leur sécurité, leur tranquillité." Des mesures seront prises: l'adolescente sera désormais escortée tous les jours entre son école et son domicile.
***
A la différence du terme générique de viol collectif, Le mot tournante permet de cerner un problême qui concerne, essentiellement des adolescents, souvent issus de l'immigration et des quartiers sensibles, où il trouve ses racines. La sur-représentation des jeunes afro-maghrébins parmis les auteurs de tournantes ne fait pas de doute, si on en croit une étude du Docteur Patrice Huerre, psychiatre auprès de la cour d'appel de Paris, qui est actuellement disponible sur le site de l'INSERM. Il s'agit d'un des rares documents existant qui mentionne l'aspect ethnique des tournantes, les médias ayant minimisé ou ignoré cet aspect du problême. Selon cette étude, 52 % des adolescents ayant participé à des viols en réunion sont d'origine maghrébine. 20 % sont originaire d'Afrique noire et le reste sont issus de familles françaises. Cette sur-représentation est normale et correspond à un phénomène similaire observé en Norvège, au Danemark et en Australie.
De tels chiffres sont le reflet du problême de la délinquance en général. En 2000, l'Insee a également montré que 40 % des détenus français avaient un père né à l'étranger, dont 25 % au Maghreb. Une étude menée en 2003 dans l'isére par deux sociologues du CNRS, Sébastian Roché et Monique Dagnaud, les confirme. L'analyse de dossiers de jeunes mineurs délinquants des archives judiciaires du tribunal de grenoble montre en effet que 66.5 % des mineurs jugés ont un père étrangers (pour 49.8 % dans un pays du maghreb) et 60 % ont une mère également née à l'étranger. La population de l'isère n'est pas une des plus marquée par l'immigration puisque celle ci compte pour 6.1 % de la population totale. Les chercheurs ont aussi remarqué que lorsque ces jeunes mineurs commettent un crime, ils ont tendance à attaquer des personnes appartenant à d'autres groupes ethniques que le leur. (voir tableau)
Les témoignages de spécialistes, publiés au fil des mois montrent que les premières "tournantes", non au sens de viol collectif en général mais en tant que comportement social et ethnique spécifique, ont eu lieu dans les banlieues immigrées de la région parisienne et s'enracinent dans des pratiques relevant du racisme anti-blanc. Sylvie Lotteau, familière de ce problême depuis plusieurs années, de par ses fonctions de magistrate au tribunal de grande instance de Bobigny explique "Qu’à la fin des années 80, la tournante faisait partie d’un rite d’intégration dans des bandes organisées ".
" C’était l’époque des " requins vicieux " et des " requins juniors ", de jeunes africains qui sévissaient à Paris et en Seine Saint Denis (Banlieue nord). Leur technique consistait à draguer une jeune fille, blanche, une fois que celle ci était devenue la petite amie d’un des membres, celui ci en faisait profiter ses copains "
C'est précisement à l'époque où sévissent ces bandes ethniques et se pratiquent ces viols que Ministère Amer, un groupe de Rap dont les textes sont émaillés de propos racistes envers les Blancs, évoque sans détour les tournantes et en fait l'apologie. Dans ce qui est constamment présenté comme un conflit ethnique, le thème du viol, de la possession des femmes blanches est évoqué dans un contexte qui suggére plus un enjeu racial qu’une attirance physique. Citons l'Album " Pourquoi tant de Haine " et la chanson " le savoir est une arme ". Le premier couplet de cette chanson fixe clairement le groupe ethnique systématiquement visé les textes du CD :
" Déjà de retour, j’annonce la couleur de mon discours… Ma voix dans ta sono abuse du jeu de mot, exploite les infos, dénonce les fléaux, donc aussitôt, voici mes propos, les victimes sont gallo romains et anglo-saxons… "
C’est en l’occurrence dans la chanson " Brigitte femme de flic ", du même album, que le chanteur montre le plus clairement comment la possession d’une femme blanche est un acte combattant et décrit clairement des tournantes:
" J’ai shooté la femme du Shérif, j’ai usé toute ma boite de préservatif… la reine des pipeuses, elle suçait des gros noirs, suçait des arabes tous les jours du matin au soir malgré les degrés de dangers d’être défoncée, déshérité, dégatée…Qui lui prête secours pas son père aux abdos Kronenbourg, il aurait préféré un suédois, danois, gaulois, un punk putois avec une coupe d’oriquois, manque de pot, dix renois la foudroient "
" Une autre femme prend sa raclée, cette fois ci elle s’appelle Brigitte. C’est la femme d’un flic…Cependant Brigitte se fait éclater la teuchch. Se prend des beutes dans la cheube, c’est deub… Les novices du vices pissent sur la police, c’est pas le feu d’artifice, scratch le clitoris, … Brigitte femme de flics aime les négros. Chaud chaud dans sa culotte… ".
Il ne s'agit ici que de brefs extraits d'un texte beaucoup plus long. Qu’un acte sexuel avec une femme blanche puisse signifier beaucoup plus que la simple satisfaction d’une attirance est encore plus apparent dans un texte de Stomy Bugsy, le chanteur de Ministère Amer, tiré de son CD "Le calibre qu'il te faut" :
" Mais j'm'en rappelle quand j'étais petit je me prenais plein d'râteaux / Par les filles visages pâles aux yeux clairs / Cheveux raides comme si dessus y'avait de l'eau / Mes larmes ont séché sur les feuilles en papier "
Dans ce texte, il apparaît clairement que le refus d’une femme blanche de sortir avec le chanteur est péniblement ressentit.
Pour certains albophobes et certains jeunes noirs complexés par leur négritude, l’enjeu d’un acte sexuel avec une blanche n’a rien à voir avec la simple satisfaction du désir et s’inscrit dans un cadre racial : être "à égalité " avec le blanc et acquérir ainsi son " pourvoir ", punir le blanc en avilissant sexuellement sa femme, acquérir le " prestige " que donne la possession d’une blanche. Il est clair que le choix de violer des femmes blanches, dans le groupe des requins vicieux, était une façon d’affirmer une négritude en opposition à la société " blanche " et par cette mise à mort symbolique qu’est le viol collectif, la tournante, affirmer le triomphe sur l’homme blanc, resserrer les rangs entre noirs, la femme blanche étant le bouc émissaire par la mise à mort symbolique de laquelle se reconstruit l'identité un groupe dont le principale facteur de solidarité est la négritude.
victoire en trompe l’œil, car ce n’est pas en mettant les autres à genoux qu’on se grandit… et surtout,triste de victoire que celle de ces racistes noirs qui ne parviennent à affirmer leur supériorité sur l'homme blanc que dans la bestialité. Ce n’est certainement pas en violant une femme, quelque soit la couleur de sa peau, qu’on prouve qu’on est un homme.
L'influence culturelle de l'Islam semble aussi prépondérante dans la délinquance sexuelle des jeunes maghrébins. Le cas de la Norvège, du Danemark et de l'Australie montrent clairement qu'il existe un lien entre la délinquance sexuelle et la culture musulmane, particulièrement lorsque le communautarisme et l'islamisme sont influent au sein d'une communauté immigrée. Dans ces pays et en France, la diversité d'origine des communautés où se pratiquent le viol collectif, (maghrébins, pakistanais, libanais, somaliens) montre qu'il faut chercher une explication à cette délinquance sexuelle dans leur culture commune plutôt que dans leur ethnicité.
Le communautarisme et l'influence des islamistes dans les banlieues à beaucoup à voir avec les tournantes qui pourraient être la traduction, chez les jeunes musulmans, d'une hostilité envers l'occident à travers de jeunes maghrébines occidentalisées et stigmatisées par les islamistes des quartiers comme moins vertueuses parce qu'elle ne portent pas le Tchador. A travers la femme maghrébine, c'est en fait la femme occidentale, au sens culturel, qui est visée.
Les stéréotypes racistes à l’égard des femmes occidentales au sein des communautés maghrébines et musulmanes, stéréotypes plus que probablement transmis par des parents à leurs enfants, sont indubitablement un élément d’explication au phénomène des tournantes. L’écrivain Fawzia Zouari, d’origine tunisienne, présente ainsi ces préjugés racistes :
" Côté Sud…Une presse insidieuse, des propagandes politiques et moralisatrices présentent les femmes du nord en objets de plaisir, poupées à moitié nues, Eve en préfabriqué. Sur écran ou sur divan, les voici aguichantes, provocantes, leur liberté se limitant à la satisfaction physique et à l’argent. Des monstres d’égoïsme, refusant la maternité, la famille, la fidélité.
Toute la littérature masculine immigrée a fabriquée l’image d’Européennes disponibles, sans âme, sans morale. Certains font rêver leurs amis restés au pays sur ces blondes venues les accueillir à l’aéroport, abandonnant époux et foyer pour une aventure passagère, consommant le sexe "comme on va au restaurant".
Il est d’ailleurs étonnant de voir à quel point l’exil arabe en Europe est nourri de fantasme de conquête blondes. Là où les colonisateurs européens du XIXème siècle foulaient la terre d’orient animés par le désir de razzias économiques et politiques, les émigrés orientaux du XXème siécle ne s’attachent à laisser à leurs descendants que les piètres carnets de bal de Don Juan dérisoires.
En outre, une mentalité ancrée en pays d’Islam considère qu’une non-musulmane ne vaut que la moitié d’une adepte du prophète… "
By Anonyme, at samedi, 03 juin, 2006
"De tels chiffres sont le reflet du problême de la délinquance en général. En 2000, l'Insee a également montré que 40 % des détenus français avaient un père né à l'étranger, dont 25 % au Maghreb."
On parle la bien sur des fils de colons qui ont envahi le Magreb. Apres avoir exploite des peuples de paix il viennent refoutre la merde dans notre pays et votent pour Le Pen je suis sur...
Mort a la droite
By Anonyme, at samedi, 03 juin, 2006
prends des cours d'orthographe, c'est fatigant à la longue. Mais on rigole bien quand même !
By Anonyme, at mardi, 06 juin, 2006
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