Pour un Autre Monde

lundi, novembre 28, 2005

Il y a des jour ou

C'est assez délicat pour un Anti-Raciste de combatre le Racisme. Non pas que nos adversaires aient la moindre chance; Nous, nous avons la Culture, la Morale, l'Intelligence, le Progés, l'Esprit Critique de notre coté. Ils n'ont donc aucune chance. Non,le probléme, c'est que pour combatre un pseudo-argument Xénophobe, il faut l'exposer necessairement au Public. Donc, finalement, répandre des Idées malsaines auprés des Masses. Or, en tant qu'avant Garde de Progrés, ce que nous ne donnons pas aux Masses ne leur manque pas. Autant dire que combatre le Racisme contribue par là même à propager la parole Raciste.
Le Monde qui dénonce certains propos inacceptables les diffuse. Certe, les gens de Droite ne lisent que Le Figaro, mais tout de même, ils pourraient, par hasard, tomber sur la couverture d'un vrai journal. Il faut donc interdire la publicité des propos des accusés. C'est le seul moyen que je vois. L'accusation de Racisme, l'enquéte, seront secréte, le procés à huit clos. Certes, ce n'est pas exactement démocratique comme procédure. Mais peut on laisser de la liberté aux ennemis de la Liberté ?


Or, aprés Finkielkraut, voila qu'Hélène Carrère d'Encausse se met à son tour à délirer. Je ne peux pas rapporter ses propos, car ils sont ignobles mais secrets. En tous cas, je n'acheterais plus jamais un seul de ses livres. D'ailleur je n'en ais jamais acheté, c'était prémonitoire. Quand au MRAP, j'espére qu'il va se saisir de ce nouveau dérapage Anti-Républicain, Xénophobe et Raciste (mais bon, restons discret).


Pendant donc que se multiplis les dérapages et que sorte des bois des Citoyens à double visage (un Républicain, l'autre de la Droite Dur) ce gouvernement n'a rien trouvé de mieux que de faire l'apologie de la colonisation. Plus exactement, il refuse de voir modifier sa Loi d'enseignement des effets positifs de la colonisation. C'est n'importe quoi ! C'est un contre-exemple éducatif, un anachronisme historique, une faute Historique. Inutile d'évoqué la crise d'identité traversée par ce pays qui a le sentiment de ne plus partager les mêmes valeurs, de ne plus avoir la même histoire. C'est une réalité qu'on observe à travers les conflits de mémoire entre communautés. C'est une dérive dangereuse que cet article ne peut qu'aggraver. Bref, dans un esprit de Solidarité et pour appaiser le tension communautaire, il faut changer ce texte d'urgence pour obliger l'enseignement des effets négatifs de la colonisation. Mais cela, ce gouvernement Ultra-libéral et sa politique de Casse Sociale peut-il seulement le comprendre ?


En tous cas, le résultat de toute cette propagande Anti-Immigrés commence à avoir du succé.. à l'étranger. D'ou des résultants totalement délirant :

"Ceux qui ont fait le voyage jusqu'à Paris — ils sont de plus en plus nombreux — se remettent difficilement de ce qu'ils ont vu : "Tant d'Africains, tant d'Arabes ! C'était tellement humiliant pour moi de faire la queue avec eux à la préfecture", explique Vitia, un étudiant qui a séjourné quelques mois en France il y a deux ans. "Heureusement que votre ministre de l'intérieur va les déporter : cela va les calmer", explique Boris, un militaire à la retraite. Les passions se sont à ce point enflammées que le bureau du Monde à Moscou a reçu de la province russe des messages de soutien envers la France "contre ces méchants Arabes et ces Noirs ingrats."


Voila quelle mauvaise image du pays des Droits de l'Homme les Racistes construisent à l'étranger.
Honte sur eux ! Alors que nous sommes simplement une Société en avance dans le processus de Métissage, une Société Solidaire, Ouverte à l'Autre, sans frontiéres artificielles, Tollérante et Anti-Raciste, voila qu'à cause de gens comme Finkielkraut nous passons pour le pire des modéles !

Franchement, il y a des jour ou, être AntiRaciste, c'est dur..

11 Comments:

  • je croyais que charles était con...mais non il est tout simplement fou!!!

    By Anonymous Anonyme, at mardi, 29 novembre, 2005  

  • Ah c'est certain que c'est un grand malade. C'est pour ça que la simple charité empêche de réellement lui en vouloir, il ne comprend rien au monde, rien à ce qu'il lit et plus surprenant encore sans doute rien à ce qu'il écrit.

    Mais son délire est tel qu'il ne peut, les commentaires le prouvent, que séduire d'autres fous ou pré-pubères décérébrés.

    L'abomination dont il parle est je suppose un entrefilet dans le numéro 1732 du journal le Point (page 29) (ou plutôt une relation de cette citation, car, peut-être me trompais-je, mais il ne doit pas lire le Point cet animal, quoi que, son statut de Vigie éclairée l'oblige peut-être à lire des abominations, comme les inquisiteurs se repaissaient de récits à forte teneur sexuelle des sorcières qu'ils interrogeaient "pour la bonne cause").

    Donc notre académicienne a parlé à la télévision russe de la polygamie et des appartements africains surpeuplés. Voilà, voilà... ben oui c'est tout, mais pour un Charles ça mérite au moins le bûcher. Et il vaut sans doute mieux qu'il n'essaye pas de la lire, car je crains qu'il ne dispose pas de structures corticales lui permettant de comprendre ce qu'elle écrit.

    By Anonymous Anonyme, at mardi, 29 novembre, 2005  

  • Ca c'est sûr, Robert. Et puis comme nous sommes pour la diversité et contre la morale cathofasciste, ça ouvre de sacrées perspectives en la matière.
    La Gauche
    C'est l'Orgasme.
    Nick L.

    By Anonymous Anonyme, at mardi, 29 novembre, 2005  

  • "Donc notre académicienne a parlé à la télévision russe de la polygamie et des appartements africains surpeuplés. "

    Elle reprend effectivement une partie du discours Finkielkrautien.
    Et non, même si vous ne voulez pas le voir, ce n'est pas "rien" de dire ce qu'elle dit. Les réaction sont déja nombreuses :

    "La polygamie des Africains en cause, selon Carrère d’Encausse

    Par Henri Georges Minyem - Chercheur en sciences sociales, EHESS-PARIS

    Georges Minyem revient sur la polémique lancée par l’académicienne sur le rôle de la polygamie dans les violences urbaines.

    Ainsi donc, tout serait la faute de la polygamie ! Non pas la carence de l’Etat républicain, encore moins la faillite d’un système sociétal inégalitaire, mais bien celle des Africains et leurs pratiques bizarres !

    Etonnant comme bien souvent, on trouve des raccourcis frappants dès qu’il s’agit de traiter de questions sociales dont l’analyse critique échappe, d’évidence, aux éminences de l’intelligentsia traditionnelle française, bien d’ici, la bien-pensance -tout de blanc vêtue- de la République française.

    Parcourant quelques médias à la recherche d’une lueur de profondeur quant à l’analyse de la récente crise des banlieues qui aura justifié la mise en application d’un texte sur l’état d’urgence (loi de 1955) vieux de 50 ans, je vous rencontre, femme, secrétaire perpétuelle de l’illustre coupole, la fameuse Académie française et me délecte à l’avance de la lecture critique d’un phénomène que la plupart des hommes politiques (dans un sursaut de lucidité bien hypocrite) reconnaissent comme la résultante de leurs errements politiques en matière d’intégration depuis 30 ans et que lis-je ? Vous, Hélène Carrère d’Encausse, dans une prénotion sociologique digne des pires élèves qu’il m’ait été donné de former…Une prénotion disais-je, doublée d’un paralogisme à faire pâlir d’envie Monsieur Jourdain, vous voilà entrain d’analyser un phénomène social agrégé d’une transition sociétale qui nous interpellent tous, avec une légèreté des plus affligeantes à travers les pages du journal « Le Monde » du 17 novembre 2005. Vous affirmez : « Pourquoi les enfants africains sont-ils à la rue et pas à l’école ? (…) Beaucoup de ces africains, je vous le dis, sont polygames (…)»

    De toute évidence, vous ne comprenez grand-chose ni à l’Afrique, ni au tissu social hétérogène de cette population originaire d’un même continent (qui n’a souvent en commun que la mélanine et des vestiges culturels comminutifs), vous ne connaissez même pas la nature sociologique de la population des banlieues françaises, et de plus, vous manquez de recul analytique chronique quant à la lecture que vous faites des faits sociaux, sacrifiant par là-même à une exigence méthodologique nécessaire à l’hypostatique appréhension des mutations sociologiques actuelles de cette société. Votre abréaction serait-elle donc la conséquence de votre longue résidence dans les hautes sphères, portant en corollaire, un déficit chronique dans la compréhension de ceux que vous représentez au-delà des limites hexagonales, et témoignant par le fait, d’un déficit d’imprégnation avec le réel ?

    En fut-il de même lorsque vous rédigeâtes votre analyse sur la Russie dans votre livre « L’empire éclaté -La révolte des nations en URSS(1) » dont il est fort à parier que vous vous en sentîtes plus proche que de ces « sauvageons » des banlieues qui brûlent tout sur leur passage, sans considération aucune pour les nobles et respectables travailleurs qu’incidemment vous en reconnaissez les bienfaits pour la nation française, témoignant par votre empressement à la commisération, d’une bien indécente (parce que hypocrite) condescendance ?

    S’agit-il un instant, dans mon esprit, de donner raison à ceux-là qui détruisent par leur violence aveugle le fruit du dur labeur de leurs congénères, bien peu souvent nantis ? Aucunement !

    Cependant, la stigmatisation peu nuancée d’une population, sa catégorisation, sa désignation elle aussi aveugle, de la part d’une personne incarnant une assemblée aussi illustre que la vôtre, ne peut qu’interpeller des esprits guidés par la lecture contradictoire d’une réalité qui manifestement échappe à votre subconscient niveleur, ethnocentrique, voire raciste.

    En effet dans votre propos, vous ne faites pas que condamner la polygamie (qui pour rappel, est interdite en France depuis la loi Pasqua de 1993 qui prévoit un an d’emprisonnement et 45000€ d’amende pour les contrevenants), mais vous désignez d’un bloc, vous fustigez d’une tirade, vous jetez en pâture d’un verbe déplacé une communauté, en l’occurrence les Africains et leur polygamie, signes ostensibles d’un subconscient niveleur que votre approximation analytique vous incite à considérer d’un même œil ; preuve s’il en est du regard péjoratif porté sur une communauté dont justement les idéaux républicains d’égalité consistent à en méconnaître les particularismes ethniques quant elle vante le modèle d’intégration français et à les reconnaître à des fins d’amendement de l’Etat républicain. Duplicité quand tu nous tiens ! Vous tranchez et en déduisez qu’il existe bel et bien des communautés en France et que de toutes celles-ci, « Les Africains et leur polygamie » constituent une tare préjudiciable à l’édification même de cette conscience citoyenne que vous seule, blanche de culture européenne, incarnez réellement ! Et pour cause !

    Connue pour votre bon goût et pour la finesse de votre analyse, vous fûtes admise à l’Académie française. Aujourd’hui, disais-je, vous en êtes une ambassadrice de par le monde, forte que vous êtes de la connaissance de la Russie, et visiblement autant auréolée de lacunes sociologiques qui eussent dû vous donner matière à mutisme qu’à énonciation de telles absurdités, reflets par excellence de votre manifeste déficit de connaissance du paysage socioculturel de la France, pays dont vous êtes une élite représentative, de mon analyse, bien mal indiquée, car…

    De toute évidence, vous semblez méconnaître la nature profondément inégalitaire du tissu social français et de sa politique d’immigration ! Faites donc l’effort de vous taire la prochaine fois !

    Visiblement, vous méconnaissez la profonde détresse humaine de ceux qui par leurs actes -certes répréhensibles-, en sont réduits à causer des dommages à leurs congénères des banlieues comme seule illustration d’un désastre humain de plus forte intériorisation psychosociologique,

    D’emblée, vous vous disqualifiez, car ne point voir dans ces personnes, des français comme vous, témoigne d’un mépris manifeste pour la composition sociologique de cette population qui, si autrefois fut composée pour beaucoup de migrants en instance d’intégration, est aujourd’hui faite de Français de la troisième ou de la quatrième génération. Français à part entière, disais-je, dont vous feriez bien de vous inquiéter du sort, de l’avenir, dans un sursaut de lucidité, qu’à uniquement en fustiger les forfaits de manière primesautière, comportement qui ne saurait seoir à une personne de votre rang, de votre distinction.

    La stratification de la société française peut donc se gausser de posséder en ses institutions représentatives de dignes spécialistes des questions occidentales et méconnaître la structure humaine de sa propre société ! Tel est le lourd paradoxe des pays occidentaux qui ne voient l’autre qu’à travers le prisme culturel déformant de sa représentation du « convenable », de l’« acceptable », du « bon goût », bref de sa vision manichéenne du bien et du mauvais ; autant de distorsions faites à l’idéal républicain d’intégration des différentes composantes de la réalité sociale de notre pays, la France.

    Chère immortelle, ces enfants que, d’une seule tirade, vous qualifiez d’Africains, sont pour la plupart des enfants français, à moins, bien entendu, que dans votre esprit, l’acception de Français se confondît d’emblée à la « race », autre cliché dont vous aura alimentée la lecture républicaine du schéma de représentation que vous accolez au « Français ».

    Les temps ont changé et il faudra bien que vous vous fassiez à cette nouvelle identité française-là !!!

    A ce titre, ils méritent, non pas d’être exclus par des artefacts d’analyses, des jugements de valeurs approximatifs et des amalgames tels que vous les faites, mais d’être entendus de vous, qu’ils considèrent à la fois comme des aînés « responsables », comme des référents de sagesse qui seuls sauront leur montrer la voie à suivre.

    Ce que j’entends vous faire comprendre, c’est que le traitement stigmatisant que vous faites de cette population justifie aisément le comportement que ces jeunes font de votre mépris pour leurs aspirations profondes, en les désignant à la superficialité de votre analyse.

    Comme vous, ils aspirent à vivre dans des quartiers aisés ;

    Comme vous, ils aimeraient pouvoir accéder à des organismes publics et y obtenir place seyante à leur condition de Français à part entière ;

    Comme vous, ils souhaitent pouvoir accéder à l’Académie française (après tout, quel mérite particulier justifie votre présence dans cette institution de tradition élitiste faite de cooptations, sournoiseries et autres mérites contestables ?)

    Mais voilà, dans ce pays, quand on s’appelle Mohammed, Rachid, Amadou, Atangana, Kocoumbo, Icoucoumba…et qu’on provient de zones dites « défavorisées » (pour sacrifier à une expression courante), très peu de portes s’ouvrent à vous !!! Par votre propos méprisant pour les Africains (et par extension pour toutes les minorités visibles de ce pays) et condamnable par ce qu’il induit, à savoir un traitement éristique d’une mutation sociétale mal négociée, vous faites partie de ceux qui, en France, ont quelque difficulté à traiter le mal par la racine et à en examiner les causes profondes par un ergotage stérile sur des questions essentielles.

    Cet effort de réflexion et d’investigation sociale, si vous ne vous y exercez, conduira inéluctablement à une explosion sociale plus grande encore dans les années prochaines, que celle à laquelle nous assistons, faute pour vous de sortir d’une prison intellectuelle à la fois sociale et culturelle qui vous confine dans des artefacts de connaissance et des ad hominem dont les plus insignifiants étudiants en sciences sociales en comprendraient les fondements subjectivistes.

    Je me permets de vous faire savoir que l’exclusion, visiblement, vous ne l’avez jamais connue, ce qui me permet d’indiquer à votre encontre le mutisme le plus subtil et non l’assignation en justice qui s’impose, au vu de la lecture discriminante et sclérosante que vous faites d’une population déjà victime de l’ostracisme ambiant, et que par vos propos diffamants, vous contribuez à alimenter.

    J’ose donc croire que vous aurez la bonne idée de vous abstenir à la réplication la prochaine fois que votre inculture se manifestera par le biais détourné d’une sphère dont la lumière échappe à la saisie de votre pertinence. Et pour meilleure illustration de mes positions, vous avez toute latitude de lire mon ouvrage : « Terre d’asile etc… » chez « amazon.fr », « manuscrit.com » afin de vous imprégner de la réalité immigrée afférente aux idéaux d’égalité et de fraternité qui, d’évidence, vous sont étrangers.

    Salutations peu cordiales,

    (1)Flammarion, 1978, 314 p."

    By Anonymous Anonyme, at mardi, 29 novembre, 2005  

  • question femmes ,charles et consort ont recours aux putes de couleurs (de son propre aveu)qu'ils achetent pour quelques euros à ibiza!!!cela fait gagner du temps ,suppriment la drague etla courtoisie ou galenterie qui sont,bien sur,des vertus catonazocapitalodroitoblancofascistes....charles est le roi...de la branlette!!!

    By Anonymous Anonyme, at mardi, 29 novembre, 2005  

  • Comment pouvez-vous décrier ainsi la société multiculturelle d'Ibiza ?
    Pas assez blanc-facho ? Pas assez catho-coincée ?
    Et donner quelques euros à des femmes de couleur (ou hommes d'ailleurs ! pourquoi seulement femmes ? tiens tiens !) n'est-ce pas en somme joindre l'Utile à l'Agréable !
    Tu as raison Charles l'anti-racisme ce n'est pas facile tous les jours. Quand je vois ces hordes de finkielkrautiens et autres hélénedencaussistes venir cracher leur mépris de l'Autre jusqu'ici, je me dis que le combat est loin d'être gagné.

    No Pasaran !

    Reinhard

    By Anonymous Anonyme, at mardi, 29 novembre, 2005  

  • Fink tente de s'expliquer :

    http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/matins/fiche.php?diffusion_id=36645

    By Anonymous Anonyme, at mardi, 29 novembre, 2005  

  • Cher Monsieur Legrand, il est dommage qu'une aussi longue et belle lettre, aussi puissamment argumentée à un(e) membre de l'Académie Française soit publiée uniquement dans les commentaires de votre blog. Cette lettre mérite la grande lumière du jour. Pourquoi n'en enverriez-vous pas une copie au responsable des pages "Rebonds" du grand journal de "Libération" ?

    By Blogger Mauricette Beaussart, at mardi, 29 novembre, 2005  

  • on n'estpas loin du goulag!!!

    By Anonymous Anonyme, at mardi, 29 novembre, 2005  

  • Oui, vous avez raison Polalex, l'anonymat est une caractérisque fondamentale des lâches corbeaux (crapauds ?) de droite !

    Monsieur le Professeur Henri Georges Minyem vous le confirmerait sûrement.

    By Anonymous Anonyme, at mardi, 29 novembre, 2005  

  • "De toute évidence, vous ne comprenez grand-chose ni à l’Afrique, ni au tissu social hétérogène de cette population originaire d’un même continent (qui n’a souvent en commun que la mélanine et des vestiges culturels comminutifs)"

    et plus loin

    "Chère immortelle, ces enfants que, d’une seule tirade, vous qualifiez d’Africains, sont pour la plupart des enfants français,"

    Faudrait savoir, ils sont africains quand il faut les "comprendre" et français quand il faut les assister ?

    "En effet dans votre propos, vous ne faites pas que condamner la polygamie (qui pour rappel, est interdite en France depuis la loi Pasqua de 1993 qui prévoit un an d’emprisonnement et 45000€ d’amende pour les contrevenants), mais vous désignez d’un bloc, vous fustigez d’une tirade, vous jetez en pâture d’un verbe déplacé une communauté, en l’occurrence les Africains et leur polygamie, signes ostensibles d’un subconscient niveleur que votre approximation analytique vous incite à considérer d’un même œil"

    Bon là ça passe un peu les bornes, la polygamie est interdite par la loi donc un français ne peut être polygame. Si un africain veut devenir français il ne peut donc être polygame. Pour quoi ergoter ?

    Il se trouve que les contrevenants sont des noirs, qui pour la plupart viennent fraîchement d'Afrique et ne sont pas de naissance française. C'est donc une erreur de leur avoir donné la nationalité puisqu'ils ne répondent pas aux critères légaux.

    Cessez donc de toujours pleurnicher au racisme. Des africains travaillent dans toutes les couches de la société du moment qu'ils en ont les compétences. Un incapable noir reste un incapable, pas une victime. Tous veulent de la réussite et du respect ? Et bien qu'ils se comportent de manière à y parvenir.

    C'est à eux de gagner notre l'estime, pas à nous de l'accorder "par principe". Et s'ils sont si bons que cela, que ne restent-ils en Afrique pour aider leur pays qui en ont tous autant qu'ils sont, bien besoin ?

    By Anonymous Anonyme, at jeudi, 01 décembre, 2005  

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